« Chaque projet de communication doit être analysé sous l’angle de la pertinence. Ensuite, on identifie les leviers que l’on peut mettre en place pour en réduire les impacts, sans rien sacrifier à l’efficacité ou à la qualité visuelle des supports que l’on crée.
En créant des supports de communication éco-conçus, je n’ai pas la sensation de faire un métier radicalement différent. Les objectifs de la communication sont les mêmes, qu’elle soit pensée de façon à réduire son impact environnemental ou pas. La création graphique reste la création graphique.
Malgré cela, il faut accepter de penser différemment, de remettre en question nos façons de penser et de faire pour aboutir à un résultat plus sobre. Il faut intégrer de nouvelles contraintes et examiner de nouveaux marqueurs pour estimer la réussite d’un projet, comme le taux de couverture en encre de chaque page ou la quantité de papier. »